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 Horreur de Guerre ... vue par un cadet

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MessageSujet: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty22nd Septembre 2006, 20:54

Chapitre I : L’Entrée dans la Danse


En étant songeur quelques instants, alors que le char dévalait la pente qui le mènerait à une mort certaine, Elien vit les derniers mois de sa vie défiler devant lui, alors qu’il tentait désespérément de se remémorer le moment, et la raison de son enrôlement dans la Garde Impériale. Tout autour de lui, appart le sergent, Kriz, tous étaient jeunes, et la peur se lisait sur leur visage. Même le fait de savoir qu’il n’était pas seul dans ce cas ne le réconfortait pas, et l’esprit d’équipe, celui qui maintenait le moral de chacun en vie, depuis leur arrivée sur ce terrible système, avait peu à peu disparu, laissant chaque soldat sombrer dans les plus sombres recoins de sa personne, à l’abandon, perdu entre le vide d’un esprit torturé et l’atrocité de la guerre qu’il endurait. Elien se rappelait ce soir où il rentrait de son entraînement de baseball, et où, tout content d’annoncer à sa famille qu’un match allait se jouer entre son équipe et celle du district voisin, le sourire quitta ses lèvres instantanément alors qu’un homme en uniforme de la garde était assis autour d’une table, aux côtés de ses parents. En effet, lui, comme tous les hommes entre dix-sept et trente-cinq ans furent enrôlés dans la Garde ce jour là, et envoyés aux quatre coins de la planète, pour la défendre des envahisseurs Orks. L’entraînement militaire fut bref, et il avait apprit peu de choses à Elien, mais peu importe, le moment était venu, le moment de prouver sa bravoure, en se jetant dans les combats, dans les bains de sang, et, inévitablement dans la mort. A cette pensée, il cramponna son fusil laser, et ferma les yeux, en inspirant profondément. C’est alors qu’une écoutille du blindé fut transpercée par un faisceau rougeâtre, qui traversa la coque du char comme du papier, alors que dans un cri discret, l’un des jeunes soldats, ainsi que son voisin d’en face avaient étés balayés par l’explosion, leurs corps déchiqueté n’ayant même pas eu le temps de se défendre, tant l’énergie du tir était concentrée. Le sergent enclencha son épée tronçonneuse, et cracha son mégot au sol, avant de se lever, et de hurler, tout en balançant un coup de pied dans la trappe arrière de la Chimère pour l’ouvrir :
- C’est parti ! Suivez-moi, tirez au jugé, et posez des charges sur toutes les pièces d’artillerie que je désignerais ! Allez ! Soyez brave, héroïques, et ne songez pas à la mort ! Elle viendra vous prendre d’elle-même ! Pour L’Empereur !
A ses mots, Elien, ainsi que tous les autres soldats déployés dans le blindé se levèrent, et s’engouffrèrent dans l’ouragan de feu des combats, tandis que deux d’entre eux furent fauchés d’une même rafale, qui cribla leur torse de projectiles gros comme le poing. Le sergent avait déjà commencé à désigner du doigt un canon appartenant aux Orks, appelant Elien pour que ce dernier dépose les explosifs à sa base. Alors que ce dernier s’exécutait, une brute verte se jeta sur le sergent, qui, d’un agile bond en arrière put éviter de se faire broyer sous la masse de muscle. Il déchargea un chargeur entier dans le dos de l’Ork, avant d’enfoncer profondément sa lame tronçonneuse dans les cotes du Xénos, la faisant ressortir de l’autre coté, dans une gerbe de sang.
- Allez, barre-toi de là maintenant ! hurla-t-il à Elien, qui prit ses jambes à son cou, afin de rejoindre les quelques membres de l’escouade qui restaient. L’explosion, bien que titanesque, se perdit presque dans le vacarme des combats, alors que des morceaux de métal virevoltaient en tous sens. Kriz fit signe de se regrouper derrière une énorme souche, que les bombardements avaient dû séparer de son tronc, alors que les quelques arbres présent sur le terrain avaient étés éradiqués afin de ne pas nuire à la visibilité des tirs de couverture. Tommy, le porteur du bolter lourd, enfonça les barres de fer qui faisaient office de support à son arme dans le rondin de bois, et commença à couvrir le flanc gauche, en délivrant un feu nourri sur tout se qui pouvait dépasser des rares abris, et en tirant dans les groupes d’Orks n’étant pas engagés dans les combats.
- C’est bon ! Cessez le feu ! Faudrait pas qu’on descende notre piétaille ! hurla le sergent, lâchant son pistolet, et éteignant lame, afin de se saisir du fusil laser que le garde à côté de lui venait de lâcher, après que sa tête lui fut ôtée, alors qu’une balle la faisait voler en esquisses.

Les gardes semblaient avoir la situation en main, malgré les nombreux cadavres qui jonchaient le sol, mêlant dans un atroce panorama, Orks, et humains, membres, armes, éclats en tous genre, épaves, et tout ce que les combats avaient pu emporter, avec une violence extrême.
- Ca va petit ? demanda Kris à Elien, voyant le jeune soldat virer à un blanc de linceul.
- Oui … merci sergent, répondit-il, d’un ton hésitant.
- T’en fais pas, des situations comme celles-ci, j’en ai vécu des tas, affirma Kriz, avant de se relever, et de tirer une nouvelle rafale.
Qu’il en avait vécu des tas, ça, Elien voulait bien le croire, et de toutes façons, il le savait, cela se voyait rien qu’aux marques que Kriz affichait sur le visage, cela laissant libre cours à l’imagination pour ce qui était du reste du corps …
- Rassemblement sur le versant ouest de la colline, immédiatement ! hurla une voix dont la portée avait été décuplée par un interphone, couvrant le vacarme des affrontements, qui avait diminué amplement, tandis que les Orks c’étaient repliés. Elien se releva, et abattit un Ork, d’un tir qu’il aurait pu qualifier de chanceux, en pleine tête. Il suivit en courant quatre à quatre, le sergent Kriz, et les quatre autres membres de tête de l’escouade, tout juste suivi de Tommy, que le poids du bolter lourd ralentissait considérablement. La colline était proche, alors qu’un souffle invisible précédé d’un grondement sourd avait soulevé Elien, qui alla s’écraser deux mètres plus loin, sur l’arrière train, tandis qu’une pluie de bous plut sur lui et les autres soldats alentours. Il fut vite relevé par Kriz, alors qu’en se relevant, il constata qu’un cratère était en lieu et place de Tommy, dont les restes étaient sûrement le dépôt noirâtre qui fumait au fond du cratère causé par l’obus.
- Allez, on suit, pas le temps de faire, la sieste, on est repartis ! déclara Kriz d’un ton légèrement ironique.
- Bien monsieur, je vous suis ! répondit Elien, mettant tout l’enthousiasme qu’il put dans sa voix afin de couvrir le sérieux état d’angoisse dans lequel il était plongé.
- Bien brave garçon, mais avant cela, nettoyez vous les épaules, cela fait mauvaise image, ordonna Kriz, en pointant du doigt les viscères qui pendaient et recouvraient le dos d’Elien.
Aussitôt qu’il s’en rendit compte, il fit un bond en avant, et s’aida de la crosse de son fusil afin de se débarrasser de ces infâmes restes humains, qui semblaient très certainement appartenir à Tommy …

L’escouade, qui désormais était réduite à la moitié de ses effectifs de départ, avait reprit la route, et était arrivé au pied de la colline, avant de se ranger dans un espace qui la distinguait bien des autres. Le périmètre était une zone à peu près circulaire, et une équipe d’armes lourdes était disposée dans des fortifications, à base de sacs de sable, et de troncs d’arbres, tous les dix mètres autour du régiment. En haut de la colline, qui devait s’élever à une dizaine de mètres, tout au plus, était posté l’état major, qui allait donner les nouveaux ordres. Elien scruta longuement l’endroit, car son originalité le marqua assez vivement. C’était en réalité un énorme cratère, sûrement causé par les bombardements orbitaux, et, au centre, un amoncèlement de terre remontait, et formait donc la fameuse colline, pouvant ainsi poster les dirigeants et officier en évidence des autres gardes, tout en les protégeant d’éventuels tirs ennemis. Autour de cela, quelques arbres, et rocher finissaient de couvrir la zone, appuyés, évidemment par les équipes d’armes lourdes. En haut de la colline, un homme de forte stature, le capitaine Breward, bolter en main, s’avança avant d’annoncer :
- Bien, les Orks ont été repoussés, notre assaut frontal a été radical, et nous les avons repoussés au-delà du fleuve. Néanmoins, nous avons également subi de lourdes pertes, des renforts ont donc étés appelés par radio, et d’après les gars du Q.G, ils seront là d’ici une demi-heure.
Le capitaine recula, et consulta le carnet de notes que le scribe à côté de lui avait rédigé.
- Bien, il reste environ vingt-huit escouades complètes, et une centaine d’hommes dont les effectifs de leur escouade initiale ont été amputés. Tous ceux dont l’escouade ne compte pas au moins six hommes, vous resterez ici, et commencerez à bâtir le campement. Les autres, donc ceux dont l’escouade a encore des effectifs corrects, vous allez être assignés aux points stratégiques suivants : le lit de la rivière ; la butte ; l’entrée du bosquet ; et ce qui sera prochainement notre héliport.
Il continua à dicter à la lettre les instructions pour chaque escouade, tandis que le tour de celle d’Elien était venu, et lui et ses camarades se virent confier la tâche de déployer les sacs de sable, et d’établir les barricades, aidés par une vingtaine d’autres hommes. De nombreuses escouades étaient parties à leur poste, et la colline était dégagée dès lors. L’endroit était vraiment un point stratégique très bien positionné, car, non-content de disposer d’une ligne de vue plutôt dégagée, il offrait un terrain assez plat pour pouvoir établir des fortifications de fortune. Ainsi, un hôpital, un arsenal, un poste de commandement, et un réfectoire furent montés en presque deux heures. Durant ce temps, les éclaireurs n’avaient décelé aucune présence ennemie dans le secteur, sur plus d’un kilomètre. Après pas moins de trois heures d’effort, Elien et son escouade purent enfin se reposer, et ils s’installèrent dans une des tranchées qu’ils avaient aménagées. Il souffla un peu, et pensa à ce qui allait arriver. Il était exténué, ses camarades, y compris le sergent en étaient de même, et le régiment comptait seulement trois-cent vingt-six hommes, face à une marée d’Orks, ou du moins, si leurs effectifs n’avaient pas diminué depuis les trois heures qui s’étaient écoulés, car toutes les escouades n’étaient pas pourvues de radio …
- Alors c’est ainsi hein ? demanda le sergent.
- De quoi sergent ? demanda Trul, un homme noir, d’une musculature à la limite du ridiculisant pour les hommes à proximité.
- La guerre pour Platir II a commencé. Elle sera longue, comme toutes celles qui mettent en scène des Orks et des hommes … Bientôt déjà, on entendra que les villes ont été rasées, et que les forcres militaires engagées ici sont les seuls survivants de ce monde. Je connais ce scénario, je l’ai déjà vécu, dans un autre contexte.
Elien ne prêta guère attention aux dires de Kriz, et se contenta de s’installer du plus confortablement qu’il pu contre la paroi terreuse de la tranchée, enclenchant le cran de sécurité de son arme. Il était un peu bouleversé par ce massacre, et par cette situation, et il estima qu’un peu de repos ne lui ferait pas de mal. Sa tête glissa le long de la paroi, et son casque se stoppa sur un sac de sable, faisait office d’oreiller, faute de mieux …


Dernière édition par le 29th Octobre 2006, 22:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty29th Septembre 2006, 08:13

Wouarf la vache ! Hey !! Pas tous en même temps !!

* se dégage * Ouf ! Tous ces fans ...
Bon, la suite, mais par contre, j'arrête de poster ça sous chapitre, c'est pas très crédible.

Je posterais donc dorénavant juste des bouts de texte.

La suite, donc

Kriz se redressa dans le boyau, et prit les jumelles de Loura, un jeune soldat de l’escouade. Il scruta le pourtour du périmètre longuement, s’arrêtant sur chaque relief, ou rocher, ainsi que sur chaque élément qui pouvait procurer un abri, de quelque qualité qu’il soit. Bien entendu, cela ne servait pas à grand-chose, car il y avait au moins une vingtaine de tireurs d’élite en présence, et ces derniers en faisaient de même depuis leur arrivée dans ce qui était dès lors le Q.G, depuis cinq heures. Ne voyant rien poindre, il posa les jumelles, et s’étira dans un grognement langoureux. Il regarda le ciel, tandis que le jour commençait à se faire envelopper par la nuit, le soleil ne couvrant presque plus la zone où il était. L’air n’était pas encore nauséabond, ce qui surprit le sergent, car nombre de blessés avaient été ramenés ici, et placés dans les locaux de fortune destinés aux soins. Il y a du avoir d’autres morts parmi eux, et les effectifs devaient avoir encore chuté. Il regarda Elien, ainsi que les autres jeunes qui étaient sous ses ordres. Tous affichaient un visage crispé, que leurs traits enfantins s’efforçaient de dissimuler alors que le sommeil les tenaient. Seul Trul, la brute, était encore éveillé, et depuis que l’escouade s’était installée dans le boyau, il y avait de cela une demi-heure, il n’avait toujours pas daigné se reposer, et avait continué de monter la garde, fusil à l’épaule, malgré la fatigue qu’avaient éprouvé les longues heures d’affrontements. Un bruit de chenilles se fit entendre, accompagné de nombreux vrombissements de moteurs, qui furent couverts par de stridents grincements. Alarmé par ce raffut, Elien se réveilla en sursautant, et agrippant son fusil laser, il se releva d’un bond.
- Du calme petit ! déclara Kriz, en mettant la main sur la poitrine d’Elien, en signe de se stopper. Ils sont avec nous.
- Les renforts du quatre-cent-quatrième sont arrivés ! hurla un des éclaireurs barricadés dans les bunkers.
L’un des membres du haut commandement du régiment s’était même déplacé, et il était dans la chimère de tête. Il descendit, entouré d’une escouade d’une dizaine de gardes. Il fit une drôle d’impression aux autres soldats, déjà présents, tout comme le reste des hommes qui débarquèrent. Tous étaient dépourvus de gilets pare-balles, et exposaient leurs incroyables muscles à découvert. Ils étaient de forte carrure, et leurs déplacements étaient des plus rapides. Chaque escouade se déploya selon des critères préétablis avant le débarquement.
- Escouade Primus, avec moi ! hurla le capitaine, alors qu’il ôta sa cape, pour faire apparaître son torse couvert de cicatrice, et s’engager en contrebas, dans une course vers la butte.
- Des soldats de Catachan, sergent ? hasarda Trul.
- Non, des sentinelles de Toinmak, de véritables tueurs, surentrainés pour le combat urbain. Ils ont toute ma confiance, et mon estime, répondit Kriz.
Elien ne pouvait plus se rendormir dès lors, et, de toutes manières, il ne l’aurait pas pu, car juste au moment ou il se rassit contre la paroi, une balle vint lui arracher le sommet du casque, avant de perforer la gorge de Trul, qui s’écroula, suffoquant, et ensanglanté.
- Les Orks ! hurla une sentinelle, postée sur le toit de l’hôpital de fortune. Là-bas, sur la butte !
- Merde ! Comment ils ont pu passer ces enfoirés ? grogna Kriz, avant de se tourner vers Elien. Ca va petit ? Tiens, prends son casque, le pauvre gars en a plus besoin, poursuivit-il, en tendant le casque de Trul.
Des dizaines d’autres coups de feu retentirent, alors que chacun atteignit sa cible, et des hurlements de douleurs, suivis de rafales désordonnées se firent entendre.
- Arrêtez de tirer ! hurla le capitaine, posté plus haut, dans le poste de commandement. Analysez la source des tirs, tirez trois rafales sur tout ce qui vous paraîtra suspect, allez ! Feu !
La puissance de l’interphone avait été telle que la voix du capitaine avait durant un moment, couvert les plaintes des blessés, et même les jurons de Kriz. Ils attendirent une nouvelle salve ennemie, qui faucha d’avantage de gardes, avant de riposter. Aussitôt, ce fut un déluge de feu qui s’abattit sur la butte, mais elle fut inefficace, alors que les Orks se baissèrent, laissant siffler les balles au-dessus d’eux.
- Grenades ! hurla Pumley, le lieutenant le plus strict du régiment, dont on dit qu’il fut commissaire, et qu’il fut rétrogradé suite à un « malentendu », au cours duquel un officier se vit privé de ses quatre membres.
Une volée de grenades s’envola vers les positions tenues par les Orks, soulevant des murs de terre à leur retombées, éclaboussant d’une pluie de boue tout ce qui se trouvait aux alentours. Elien vit une tête dépasser de derrière un rocher, et d’une salve de tirs de laser, il fit voler cette dernière en une multitude d’esquisses. Les Orks lancèrent à leur tour des projectiles explosifs, d’une efficacité variable, allant du pétard grot, au cocktail de mékano, certains d’entre eux creusant littéralement dans les rangs impériaux, alors qu’ils atteignaient l’intérieur des tranchées. Dans une complainte collective, bien que désordonnée, les peaux-vertes passèrent à l’attaque, et c’est alors que l’horreur se dévoila ; d’un bout à l’autre de la ligne de bataille, une marée continue de combattants Orks s’élançaient au combat, leurs grossières armes brandies en l’air, et poussant leur terrible cri de guerre.
- Feu à volonté ! déclara le capitaine, via l’interphone.
Cette fois-ci, le barrage de tirs de laser fut d’une efficacité indiscutable, clouant un nombre considérable d’Orks au sol. A l’arrière du camp, les équipes de mortiers réglaient les compas aux coordonnées indiquées par les désignateurs que les tireurs d’élite utilisaient du haut de leur position, d’où ils avaient une ligne de vue dégagée sur l’ensemble du terrain. Dans un tonnerre effroyable, les pièces d’artillerie délivrèrent un torrent de feu sur les Orks, alors que la ligne de front était parfaitement couverte par leur soutien. Presque immédiatement, les tirs et cris des peaux-vertes se firent plus sporadiques, et la moitié d’entre eux tournèrent des talons, en direction de la butte. C’est alors que ceux qui se repliaient furent fauchés, alors que de derrière la butte, un groupe des soldats urbains se précipitaient sur eux.
- Cessez-le feu ! ordonna le capitaine, à l’attention de l’équipage d’artificiers.
Le choc fut rude, mais fit tourner immédiatement le combat en l faveur du groupe de gardes, qui, par d’habiles passes, et de grands coups de lames, tranchaient et découpaient dans les rangs peaux-vertes. Elien distingua même leur capitaine, qui, prenant appui sur le crâne d’un Ork, effectua un salto avant, au cours duquel il découpa deux autres peaux-vertes à l’aide de ses deux lames, avant de les enfoncer dans le dos de celui sur lequel il prit appui. Au bout de dix minutes seulement, la horde verte était mise hors de combat.
- Le lit de la rivière est sous contrôle capitaine Hawks ! hurla le capitaine des combattants urbains, à l’attention de celui des gardes.
- Bien joué, quel est le bilan ? demanda Hawks.
- Environ vingt morts, et quarante blessés de notre côté, face à au moins le triple pour les Orks. On aurait besoin d’armes lourdes et de médecins, dans l’immédiat. Je ne pense pas que les Orks reviennent ici, on devrait plutôt surveiller le lit de la rivière, capitaine.
- Bien, nous vous envoyons cela d’ici un quart d’heure. Compagnie, point munition !
Le capitaine Hawks retourna sous la tente de commandement, faisant signe au chef des soldats de Toinmak de le rejoindre.
- Ca va les gars ? demanda Kriz, alors qu’il rechargeait son fusil laser.
- Non, Julian est mort, et Unil a une balle dans l’épaule, répondit Elien.
- Bon sang, grommela-t-il. Toubib ! fini-t-il par hurler, en levant bien haut son fusil.
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty7th Octobre 2006, 19:05

....


Alors que les blessés étaient soignés, et que chaque garde faisait son point munitions, le capitaine des combattants urbains entra dans la tente de Hawks, avec une bestiole verte dans la main, inerte, ainsi que quelque chose qui ressemblait à un fusil, fait de ferraille, et de matériaux divers.
- Regardez donc ce qui nous a causé tant de panique ! grogna-t-il, levant ses trophées bien haut, devant Hawks.
- Des Grots … j’y crois pas … murmura Hawks.
- Ouais, même que il y en avait des tas, là-bas, sous la butte, mais bon, c’est pas très résistants ces trucs-là, j’en ai écrasé trois rien qu’en trébuchant sur un tronc mis à bas.
Un soldat fit irruption sous la tente, soulevant les deux pièces de tissus qui faisaient office de portes.
- Général Marevick, capitaine Hawks !
- Quoi ? interrogea Marevick.
- Le lit de la rivière est attaqué, les radios font mention de grosses créatures, ils supposent qu’il s’agit de squiggoths, répondit le garde, sa voix trahissant un soupçon de peur.
- Ben demandez les coordonnées du secteur, on envoie de l’artillerie, proposa Hawks.
- Négatif mon capitaine, on toucherait tout le monde, même les nôtres, ya plus de ligne ...
En temps normal, ce qui signifie les interminables escarmouches dans les cités ruches, contre les oppresseurs chaotiques, Hawks aurait balancé un escadron de Valkyries, ne se souciant guère des pertes, et encore moins du côté dont elles se trouvaient. Mais il en fut différemment ce jour-là, car les effectifs étaient sérieusement limités.
- Marevick, vous y allez, prenez vos vétérans, et si il faut, de l’appui en infanterie lourde.
- Nous y allons, répondit ce dernier, en broyant le grot dans sa main, et jetant les esquilles dehors, alors qu’il se précipitait en contrebas, pour rassembler ses hommes.
Elien, après avoir vu l’empressement de Marevick, se dit qu’une nouvelle attaque arrivait, et que, inévitablement, les petites escouades non précieuses, allaient encore être de la partie. Ce n’était plus la peur de mourir sa préoccupation principale, non, il était plus inquiet encore, à propos du temps qu’il allait passer ici. D’après ce que Kris racontait, cette planète était en plein milieu d’un champ d’astéroïdes, et d’après les modestes connaissances d’Elien dans le milieu de la science astrologique, puisée dans les ouvrages impériaux les astéroïdes étaient, une fois sur deux, peuplés de clans Orks. Cela signifiait donc que si ces deux sources étaient exactes, les impériaux n’avaient aucune chance de gagner ce conflit. Une voix le tira de ses réflexions, un interphone.
- A toutes les escouades qui disposent d’armes lourdes, veuillez vous rendre dans les transports de troupes en bas de la colline dans les plus brefs délais. Direction la rivière.
- Bon sang ! grommela Kriz, on a à peine cinq gars sur pieds qu’on doit repartir. Tu tiendras le coup Unil ? demanda-t-il.
- Oui monsieur, je vais aller à l’infirmerie, tout ira bien pour moi, répondit le jeune soldat.
- C’est pas vraiment ca qu’il va se passer. Le code du bon petit soldat stipule bien que tant que tu es entier, tu dois te battre …
Après une petite enguelade au cours de laquelle Unil mangea une bonne baffe, avant de se faire resserrer le bandage qu’il avait à l’épaule, le groupe se dirigea en bas, dans les transports. Kriz avait pris le lance-plasma de Throst, et ce dernier s’était équipé du bolter lourd. Il fut soulagé, au moins, il allait pouvoir se battre sans craindre de perdre ses deux mains …
- Compagnie ! En avant ! hurla le chef de char, en tête de la colonne de blindés.
Ce fut environ une dizaine de chars remplis de gardes, précédés des «Tueurs », oui, car Elien avait entendu plusieurs conversations, et ce nom revenait sans cesse, il pensa donc à un nouveau mot à ajouter à son petit registre de parler impérial. Les chars n’étaient plus vraiment aussi agréables qu’à l’aller, bien que ce ne fût pas vraiment le grand luxe à l’aller non plus. C’était toujours mieux qu’avoir les pieds trempant dans le sang de ses camarades, comme Elien les avait, alors que les secousses que les chars infligeaient aux soldats l’obligeaient à serrer de toutes ses forces les barres en fer qui étaient là dans le but de s’agripper, afin de ne pas se ruiner durant le transport. A cette atmosphère pesante, Elien pouvait ajouter l’odeur infecte des nombreuses fuites de sphincters des jeunes soldats, nombreux étaient ceux qui allaient mourir, et peut-être en ferait-il partie. Au moins, lui, se retenait de salir ses langes.
- Deux minutes les pioupious ! hurla le chef de char, dans l’interphone qui reliait les Chimères entre elles.
Le délai ne fut pas respecté, alors qu’une violente explosion secoua la zone, suivie d’une autre, et de dizaines de similaires.
- Sortez de là !
Les écoutilles se levèrent, les gardes tiraient sur tout ce qui bougeait, alors que les tourelles de multilasers ravageaient les environs, soulevant rochers, arbres, creusant dans les reliefs, et faisant virevolter les feuilles mortes en tous sens, le tout, sous une pluie de sang, et de matière visqueuse qui s’échappait des zones où les tirs avaient fait mouche. Elien se précipita derrière Kriz, et les autres soldats, derrière une épave de Chimère, sans doute celle dont l’explosion avait été l’objet de la première explosion. Unir enfonça les piques de stabilisation dans le sol, et introduisit son arme dans un trou béant qui avait défiguré la coque du blindé. Ils étaient placé dans une bonne position, alors que le reste de la compagnie se déployait derrière eux, tandis que l’embuscade venait d’en face. Une vraie ligne de batailles avait été instaurée. Les impériaux se déployèrent en suivant les instructions des sergents, derrière les couverts, épaves, et ligne. Certains creusaient des tranchées à l’aide de grenades qu’ils jetaient au sol. Les combats ici allaient devenir des combats d’usure, alors que les balles fusaient, les explosions retentissaient, l’atmosphère était apocalyptique, alors que personne ne savait sur quoi tirer.
- Vous retournez pas ! Continuez à courir, ordonna Marevick, à ses hommes, alors que leurs talents d’infiltrateurs leurs avaient permis de quitter la zone des combats, et de poursuivre vers la rivière.
Elien se joignit à la masse, et déchargea plusieurs chargeurs sur les zones scintillantes, qui se dévoilaient par centaines, d’où les balles des Orks partaient en pétaradant, avant de s’écraser dans des fracas inimitables sur les rangs impériaux. Elien était horrifié, si bien qu’il se surpris lui-même à hurler comme un fou alors qu’il tirait au jugé. L’horreur qui l’entourait était trop intense pour lui, et il se recroquevia, enlevant son arme de l’écoutille d’où il tirait depuis quelques minutes, et se mit à gigoter d’avant en arrière, mains et jambes liées, alors que les ricochets de balles et les impacts redoublaient de fréquence et de rage. Il était terrifié.


Merci à ceux qui liront No
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty7th Octobre 2006, 19:47

Désolé, je n'ai eu ni le courage ni le temps de lire ça en netier, mais les extraits que j'ai lu le parraisent trés bien: bon style, respect de l'univers de 40K au pied de la lettre (pas d'invention importante, aucun événement particulier,...), bonne restitution de la pensée d'un Garde Impérial, description asez poussée mais pas à s'endormir où a oublier où en était le récit quand l'auteur reapsse enfin à l'action...
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty19th Octobre 2006, 17:50

J'AI TOUT LUT cheers cheers cheers

Franchement c'est beau!! Un style bien recherché et beaucoup de SANG !! J'aime beaucoup la fin. Faut que tu continue parceque finir comme ça c'est moche.
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty29th Octobre 2006, 22:53

Merci pour ces critiques Wink

Petite suite, un peu mystérieuse ...

Je vous promet quelque chose de plus complet quand j'aurais le temps; là, je suis un peu débordé ...

Soudain, des hurlements retentirent, des hurlements plus puissants que ceux des blessés et des mourants, des hurlements qui alertèrent Elien. Tentant tant bien que mal d’offrir le moins possible de son corps aux tirs hasardeux des Orks, il osa un regard par-dessus les plaques de métal cabossées d’impacts, et il se rendit compte que les rafales ennemies étaient devenir littéralement plus sporadiques qu’aux instants précédents. Le sergent Kriz se souleva, et hurla à la charge, alors que des dizaines de soldats le suivirent, fusil levé, et un semblant de courage se dissimulant sous leurs cris de guerre. Elien se jeta à l’assaut, après avoir changé le chargeur énergétique de son arme. Tous chargeaient vers l’inconnu, ils se ruaient vers cette côte, parsemée de feuilles mortes, et de cadavres, alors que de l’autre côté, un tumulte semblable à un martellement de métal se faisait entendre. Une demi-douzaine de peau-verte s’écrasèrent sur les rangs impériaux en charge, alors que ces derniers arrivaient au sommet de la colline, provoquant une chute générale, tandis qu’ils se faisaient hacher menus par les dizaines de lames présente dans le rang.
- Regardez-moi ces abrutis, hurla Kriz, plus de munitions alors ils envoient leurs propres soldats ! Allez à la charge !
Dans une grande clameur, les gardes se jetèrent de l’autre côté du vide, mais leur élan fut stoppé net. Une autre vague d’Orks s’étala sur la première ligne, vague qui venait d’être projetée par l’impact avec l’une des lourdes défenses d’un monstrueux Squiggoth. Le bestiau était en train de broyer une sentinelle sous ses énormes pattes, larges comme la coque d’un Rhino, tandis que la foire désorganisée d’Orks qui s’agitait sur son dos commençait à saturer de tirs nourris les nouveaux arrivants.
- On se replie, derrière la butte ! hurla l’un des officiers en présence.
Les impériaux firent marche arrière, tout en assurant une couverture de trainée de lasers en direction du mastodonte, alors que les Orks à son bord s’abritaient tant bien que mal derrière les lourdes protections qu’offraient sa carapace. Un terrible éclair pourpre arracha un bon morceau de la butte, incinérant sur place les malheureux humains qui s’y abritaient. A peine remis sur pieds, les survivants se rendirent compte avec horreur que le Squiggoth leur fonçait droit dessus, précédé des tirs désorganisés des Orks et des Grots sur son dos.
- Tir de suppression ! hurla Kriz, tandis que tous s’exécutèrent, délivrant une véritable tempête de lasers, de plombs et de grenades sur le pachyderme et son équipage.
Nombre furent ceux que les tirs de gros calibre Orks abattirent, alors que les bolters lourds impériaux criblaient les grossières plaques de protections qui couvraient le montre, sans discrimination pour les peau-vertes qu’ils décimaient dans un ouragan de feu, de tôles froissées et d’échardes. La peau du monstre fuyait d’un liquide verdâtre et abondant en de maints endroits, alors que les graves blessures causées par la barrière de feu lui arrachaient de longs et pénibles hurlements, alors qu’il se tordait de douleur, pressant encore plus le pas.
- Nous n’arriveront pas le repousser ! hurlèrent les gardes affolés, tandis que certains commençaient à détaler.
- Vous n’irez nulle part ! grogna Kriz, abattant deux déserteurs. Soit c’est ce montre qui va vous tuer, soit c’est moi qui m’en chargerais !
Contre toute attente, l’un des rares soldats urbains qui étaient restés dans le régiment s’empressa de prendre les commandes d’une sentinelle encore opérationnelle, et ajusta l’autocanon vers la gueule du monstre.
- Aidez-le ! Feu avec toutes armes ! hurla Kriz.
L’ouragan de feu que firent déferler les gardes aurait pu transpercer n’importe quoi, alors qu’une barrière de lasers s’était littéralement formée suite aux tirs nourris des gardes. Mais le monstre s’y engouffrait, piétinant sans attention le suicidaire vétéran et le réduisant à l’état d’amalgame de chair et de métaux putréfiés. La collision était à présent inévitable, alors qu’Elien fut irrémédiablement engouffré dans la profonde noirceur des yeux sans âme de la bête, tout devint noir, alors qu’il se sentit séparé de son corps.


Bonne lecture Wink
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melgiot
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty7th Février 2007, 04:24

bravo cela est tous simplement géniale
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty11th Février 2007, 01:06

Sympa! Juste un truc, qui me châgrine... Dans l'impérium il ya encore le baseball ? Comme tu le cite au début, le jeune héro faisait une partie de baseball avant de se faire engager dans la Garde Impériale...
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty11th Février 2007, 02:06

Alors, on va mettre les points sur les I, melgiot, tu arrêtes de ressortir des sujets qui datent de Septembre Octobre surtout pour des critiques comme ça.

Cacahuètement.
Hugo.
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fratt
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty21st Mars 2007, 05:17

Très très bon ! Très bien écrit, un style agréable et tout et tout.

C'est très classique, mais très bien quand même.
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jackobalt
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jackobalt


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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty21st Mars 2007, 16:47

Super tu as juste fais une faute "montre" au lieu de "monstre" lol c'est rien du tout mais je te le signale quand méme.
Sinon la mentalitée impériale est superbement retranscrise en fait on s'y croirai continue!
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MessageSujet: Re: Horreur de Guerre ... vue par un cadet   Horreur de Guerre ... vue par un cadet Empty

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